Un village qui s'est développé sur une partie du flanc méridional de la butte de Montmorency et qui a su garder son authenticité avec son église du XI siècle ,son cadre de verdure en limite de forêt sous l'impulsion de la municipalité à une époque où le béton est roi. | |
La présentation des cartes postales de Saint-Prix , et du quartier du "Gros noyer" quartier de mon enfance en font foi. Les coteaux de Saint-Prix furent des vignes " Le clos Rouillard " et ceux de" Matousines" le vin était vendu à Londres par Charles de Montmorency. Par la suite les vignes disparurent pour être remplacées par des vergers, mais avec la concurrence des vergers du sud ils disparurent aussi. En invoquant Saint-Prix nous ne pouvons pas oublier de citer la famille de Victor Hugo qui y avait leurs pavillon, Victor Hugo fit allusion à la commune dans les " Méditations " | |
|
|
|
|
La ferme : A cette époque le quartier du Gros Noyer était un petit village, où se trouvait une ferme et des pâturages. La ferme « Bon houre » avait été achetée par la première des générations qui avait eu l'information du développement de la région. On pouvait y acheter son lait à la mesure . La pâture se situait à la place du théâtre actuel, angle des rues Gambette et du Gros Noyer. Le théâtre étant à l’origine un marché couvert qui a fonctionné pendant de longues années. |
|
L’usine : Rue Gambetta, il existait une usine de tissage ou la maman de Monsieur Collet a travaillé quelques temps. Monsieur COLLET était employé occasionnellement pour gagner quelque argent. Cette usine fabriqua par la suite du Rouge à lèvres et après sa fermeture, ses locaux ont été transformés en logements. |
|
La graineterie : Dans cette rue, n’oublions pas la fameuse graineterie « FOIN » où se fournissaient les nombreux jardiniers des potagers situés aux alentours. Par la suite, celle-ci fut transférée sur la place, et détruite pour la création d’un rond-point. Sur cette place, je me rappelle du manège qui s’y installait une fois par an. Maintenant à cet endroit, il y a un garage. |
|
Le train : A la construction de la ligne de train, la station n’existait pas au gros noyer. Elle fut créée par la suite à la demande de Monsieur Delfosse, pour que les commerces puissent prospérer. |
|
La quincaillerie : A la place du restaurant asiatique se trouvait la quincaillerie " BEGUIN " |
|
Le médecin : En ce temps là, le médecin était habillé en redingote. Pour obtenir sa visite, il fallait demander au tenancier du café de la rue du Gros Noyer (pas de téléphone à l'époque). |
|
La guerre 1939/1945 Pendant la guerre, un avion Anglais fut abattu à l'angle des rues Gambetta et Henri Dunant, où se trouve actuellement un monument commémoratif. Un des aviateurs fut sauvé par la famille Bon houre.ils eurent la présence d'esprit de cacher le parachute et de cacher l'aviateur chez lui. Pour la petite histoire, ce dernier épousa la fille de son sauveur. |
|
Les fêtes : Pendant de longues années, on se retrouvait au «Lapin sauté ou des bals étaient organisés. |
|
F.Vuillemet Vous avez un témoignage , des documents scanés sur Saint-Prix vous pouvez me contacter pour enrichir la page de Saint-Prix. |
Gallerie du site : Saint Prix |