(1) ARDOUIN-DUMAZET,
Voyage en France, p.36. 46e série.
La Seine de Paris à la mer, Parisis et Vexin
français. Paris
1907. |
(2) Annuaire de
Seine-et-Oise, p.110. Versailles 1868. |
(3) ADVO : 9 M 847.1
La graphie de ce patronyme varie
en Morinviller(s) ou Morinvillier, originaire de
Crépy-en-Valois
(Oise). |
(4) ADVO : 9 M 847.1
Annuaire-almanach du
commerce…, (Didot-Bottin), p. 3
384. Paris 1879.
Son mari figurait en 1879. |
(5) Archives mairie de Saint-Brice : certains de
ces renseignements
furent collectés sur la matrice cadastrale des
propriétés
bâties de 1882 à 1902. |
(6) Ce renseignement
est contredit par l’information
signalée à M. Jousserand : à cet
endroit, en 1884,
une briqueterie appartenait à la veuve de M. Victor Leblond
prédécesseur
de M. Braconnier. Sa femme est veuve en 1881.
ADVO : 3 P 641, case 149. |
(7) ADVO : 9 M 847.1.
Recensement. Il a trente-cinq
ans et est originaire d’Allègre
(Haute-Loire). |
(8) Archives mairie
de Saint-Brice : registre accidents
du travail en 1901. |
(9) La graphie de Duparque doit être CQ
et non QUE. |
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Une briqueterie aux hangars bas,
aux fumées sombres, trouble l’harmonie de ces
belles campagnes [de
Saint-Brice], si le limon est favorable pour les poiriers, il est
excellent
pour les ouvrages céramiques, aussi de grandes fabriques de
briques
sont nées notamment à Villiers-le-Bel (1).
Le premier
ouvrier briquetier,
relevé en 1856, travaillait-il à Sarcelles ?
Aucune briqueterie
n’apparaît à Saint-Brice.
En 1868,
un lieu-dit la Briqueterie
est mentionné comme écart par
l’Annuaire de Seine-et-Oise
(2).
En 1876, Désiré
Morinvillé (3) exploite une briqueterie, sur la
route nationale
n°1 , au lieu-dit la Briqueterie.
Célina Meunier, quarante
ans, est briquetière en 1881 et 1886. Elle est la veuve de
Victor
Leblond (4). Elle exploite à Sarcelles et cesse son
activité
en 1887.
M.
Léon Joseph Alfred
Braconnier (5) lui succède sur la parcelle
cadastrée
section C, n° 297. En 1882, l’usine est
démolie (6).
M. Félix Bancel est signalé
en 1876 comme plâtrier (7), M. Auguste Dedeyn
le remplace.
C’est sur la même parcelle section C, n°
297, de M. Braconnier,
qu’il établit une construction nouvelle en 1887,
puis d’autres bâtiments,
en 1889. Il entreprend une démolition partielle de la halle
à
briques en 1894. Puis, fait édifier un four annulaire en
1896. A.
Dedeyn et Cie déclarent un accident du travail
dans leur entreprise
en 1901 (8).
Le
recensement de 1886 signale
: un établissement avec deux employés, M.
Théophile
Duparque (9), le propriétaire, est
enregistré au cadastre.
Mme
veuve Lecerf, de Montlignon,
fait ériger sur la section A, nos 13-14 une nouvelle
briqueterie.
Elle sera démolie en 1888. |
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En-tête de lettre
prédaté 189..d'Auguste
Dedeyn qui a succédé
à Félix
Bancel.
( Coll.part.)
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