* Nom d'homme
germanique Dodo et latin moms ,
montagne |
(1) ADVO:7M 166
Annuaire de Seine- et -oise, p
681 Versaille 1868, ils
ne sont plus signalés comme associes à M .Lerouge. |
(2) Alfred Martin , son fils ,s'associe
à son père en
octobre 1864.A cette date son père était
domicilié
à Blois.Il possédera en totalité le
quartier du Mont-Griffard
à Montmorency.Alfred meurt le 1 mai 1886. |
(3) Les chanoines de Vincennes
possédaient des biens en ce lieu
, d'oû la déformation en Vincennes. |
(4) Aucunne trace de l'arrêt
préfectoral les autorisant
à bâtir une briqueterie. |
(5) RIVAL
Michel , le Refoulons
chemin de fer d'Engheint à Montmorency,p.17 .Valhermeil 1989.
(6) BOUSQUET Francois et Jacques , Domont
,histoire d'un
village d'ile-de-France ,p.333 , note 780.Aubusson 1975.
Les frères Bousquet
citaient M.Marchant comme
étant le premier briquetier installé aux
Vinciennes. |
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L’activité
briquetière aurait
commencé vers 1857.
MM. Joseph Marchand (1)
père et fils (2)
se sont associés à M. Lerouge.
Ils sont entrepreneurs
de travaux publics à Montmorency et sollicitent
l’autorisation d’installer
à Domont, au lieu-dit les Vinciennes (3)
,
une tuilerie-briqueterie, en bordure de la route de la Croix-Blanche.
Leur
très vaste parcelle est à cheval sur cette route,
d’un côté
ils établiront les bâtiments pour
l’exploitation et de l’autre
les logements pour les ouvriers. Ils formulent leur demande le 11 avril
1864.
Dans leur pétition au
sous-préfet, ils se définissent
comme soumissionnaires d’importants travaux
d’utilité publique et
désirant nous occuper de constructions dans le
département
nous vous prions de bien vouloir nous autoriser à
établir
pour les besoins de ces entreprises sur le terrain dont nous sommes
propriétaires
des fours à briques au lieu-dit les Vinciennes, section C,
n°
109. Leur installation comprendra : trois fours, six halettes, deux
malaxeurs
et un dépôt de terre.
Le 21 août 1864, le préfet
s’inquiète de savoir,
pour que leur établissement soit accepté, si le
bois de l’Etat
est éloigné d’au moins 1 km du four.
Cette condition est
remplie.
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Le registre d’enquête, ouvert du 1er au 10 juin,
n’a présenté
aucune observation. Le maire, M. René Guérin,
donne son accord.
Dans sa séance du 11 juillet, le conseil
d’hygiène demande
que les bouches des fours soient du côté
opposé à
la route(4).
Le 14 juin 1865, ils demandent la permission
d’établir un embranchement
sur la ligne de l’EM (chemin de fer d’Enghien
à Montmorency), le
Refoulons, dont M. Marchand est un actionnaire discret. Cela lui
permettrait
de transporter : briques, plâtre et pierres provenant des
carrières
des Champeaux, qu’il avait rachetées au comte de
Pulligny, sur Saint-Ouen
et toute la banlieue est(5).
Ils installeront une chaudière
à vapeur le 28 juin 1868,
perfectionnement important pour l’époque(6).
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Coupe du four.
( Plan A D V O )
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